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Le protagoniste de «Matilda», Mara Wilson, a écrit un nouvel essai dans lequel il montre son soutien à Britney Spears et contre les dommages psychologiques d’être une enfant star.
Wilson, qui a joué le rôle principal dans le film acclamé mille neuf cent quatre vingt seize, a écrit un morceau pour Le New York Times répondant à film documentaire, ‘Encadrer Britney Spears’ compatissant avec le chanteur.
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Wilson a commenté certaines scènes du film documentaire où Lances Elle est interrogée sur ses relations personnelles et son activité sexuelle, reconnaissant ainsi les niveaux élevés de sexualisation.
«Je ne suis jamais apparu dans quelque chose de plus révélateur qu’une robe aux genoux … c’était intentionnel, mes parents pensaient que je serais plus en sécurité de cette façon, mais cela n’a pas fonctionné … les gens m’ont demandé: ‘As-tu un petit ami? Depuis que je était de 6 ”.
«Les journalistes m’ont demandé qui je pensais être l’acteur le plus sexy et sur l’arrestation de Hugh Grant pour avoir demandé une prostituée », a ajouté l’actrice.
«C’était mignon quand des enfants de 10 ans m’ont envoyé des lettres disant qu’ils étaient amoureux de moi. Ce n’était pas quand les hommes dans la cinquantaine l’ont fait. Avant même d’avoir 12 ans, il y avait des photos de moi sur des sites Web fétichistes et j’ai été photographiée dans la pornographie juvénile. «
« J’ai toujours eu honte … Hollywood a décidé de s’attaquer au harcèlement dans l’industrie, mais je n’ai jamais été harcelé sur un plateau de tournage … mon harcèlement sexuel était toujours entre les mains des médias et du public. »
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Sur le traitement des médias envers Britney Spears, Wilson Il a ajouté: «La façon dont les gens parlaient Britney Spears C’était toujours terrifiant pour moi et ça l’est toujours. Son histoire est un parfait exemple du phénomène dont je suis témoin depuis des années: notre culture construit ces filles uniquement pour les détruire.
«Heureusement, les gens sont de plus en plus conscients de ce que nous avons fait Lances et ils ont commencé à lui présenter des excuses. Mais nous vivons toujours avec les cicatrices », a-t-il conclu Wilson.
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